Coaching

Le Coaching à l’avantage de répondre « en pompier » à une problématique et les solutions sont immédiatement applicables.

Les clients qui font appel au coaching cherchent en générale à résoudre un problème lié à la carrière ou à une situation conflictuelle. Il s’agît dans la plupart des cas, des managers débutants ou des cadres aux alentours de 40 ans. Trois à quatre séances de 90 minutes suffisent généralement pour résoudre le problème.

Les cadres débutants ont besoin d’explorer avec un interlocuteur neutre et compétent les opportunités à saisir pour faire avancer leur carrière. D’un autre côté, ils veulent souvent savoir ou se trouvent les pièges dans le management de leurs équipes. Parfois, ils cherchent aussi à se rassurer qu’ils ont choisit la « bonne entreprise ».

Quant aux cadres qui ont aux alentours de 40ans, ils recherchent le plus souvent à faire le point sur leur situation professionnelle. Fréquemment ils se posent les questions suivantes :

  • Dois-je revoir mon orientation professionnelle ?
  • Dois-je changer d’employeur ?
  • Dois-je changer de poste à l’interne ?
  • Dois-je envisager une activité en tant qu’indépendant ?

Pour gagner du temps, je demande au client qui cherche à réorienter sa carrière, un CV actualisé avant la première séance afin de détecter ses compétences transférables ou à développer pour pouvoir accéder à une nouvelle responsabilité.

Dans une demande d’accompagnement concernant une situation conflictuelle, les managers cherchent à savoir comment gérer une situation « brulante » afin d’éviter ou de stopper une escalade. Dans le processus de business coaching il est très important de reconstruire la situation conflictuelle de façon systémique afin de comprendre les causes souvent multiples. Ceci permet de choisir une stratégie d’action adéquate.

Le speed coaching d’une journée est très demandé par les managers qui se déplacent fréquemment à l’étranger. Les problématiques abordées concernent soit une réorientation professionnelle et ou privée, soit de se préparer pour une présentation à l’étranger dont les enjeux sont importants.

En générale il est important que le business coach donne la possibilité aux clients de s’informer sur ses compétences par le biais de son site web ou de ses publications concernant les problématiques lié au coaching managérial. Ceci raccourci sensiblement la phase de « faire connaissance » et aide à créer rapidement une relation de confiance. Il va de soi que le business coach apporte dans le cadre du coaching toutes ses compétences afin d’aider son client à trouver des solutions applicables immédiatement après la séance.

Article publié dans le magazine Le Monde Économique:   http://www.monde-economique.ch/management/le-speed-coaching

Vous êtes responsable du bon fonctionnement de votre équipe.

Vous cherchez à résoudre rapidement un problème lié au management ou à une situation conflictuelle.
Trois à quatre séances de 90 minutes suffisent généralement pour résoudre le problème.
J’explore avec vous les opportunités et vous guide dans la résolution du problème.

Je me réjouis de votre prise de contact et de répondre en détail à vos questions.

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4 Commentaires

  1. Oui Franck, c’est très attrayant et je pratique parfois. J’y vois cependant plusieurs limites. le coaché veut des réponses et le contenu aurait tendance à primer sur le processus. Le coaching peut alors devenir plus ou moins du conseil…je m’explique, les solutions sont certes celles que valident le coaché mais le coach peut avoir tendance vouloir donner le poisson plutôt que d’apprendre à pêcher (c’est beaucoup plus long). J’ai 2 fois 90′ pour atteindre l’objectif….je rappelle à nouveau que le coach n’est pas responsable du résultat mais seulement du processus. Là, on veut valider la sortie du pb technique à très court terme! Cela devient déontologiquement problématique. En outre, la phase de prise de conscience et le travail sur soi ne me semble pas suffisant pour que le coaché ne retombe pas dans les mêmes scenario d’échec. J’ai trouvé ma solution en évitant de contractualiser sous le nom de coaching quand je pratique, même si j’utilise des techniques de questionnement utilisées en coaching!
    Cordialement
    Thomas
    http://www.optimhommes.fr

  2. 1 entretien d’1h, accompagné de tâches à faire sur le terrain et 1 debrief d’1h pour ancrer le changement peuvent effectivement suffire dans beaucoup de coaching et d’accompagnement.
    Les outils que j’utilise (approche interactionnelle et stratégique de Palo Alto) le permettent dans de très nombreux cas. Ils permettent aussi un changement durable (une durée longue pour un coaching n’est pas forcément un gage de réussite).
    Et on reste dans un cadre de coaching tel que vous le définissez Thomas = responsable du processus.
    C’est l’outil qui permet ça tout simplement.

    C’est pour quoi je milite de façon active pour que le recours au coaching soit plus fréquent, y compris pour des salariés qui ne sont ni cadres ni managers. Ce type d’accompagnement permet de changer rapidement, de façon efficace et concrète.
    Sandrine
    http://blog.scommc.fr

  3. Paul-Marc Baragli

    Dans le cadre d’études, j’ai eu l’opportunité de suivre trois séances de coaching de deux heures chacune…
    Plutôt efficace je dirai.
    Par contre le coaching sur plusieurs mois, je ne connais pas, mais je ne comprends pas non plus l’intérêt de la chose hormis des questions d’ordre économiques.
    L’intérêt que je vois à quelque séances de coaching rapido est surtout de sortir la tête du guidon et de pouvoir enfin se poser quelques deux ou trois bonnes questions en discutant avec quelqu’un de neutre…
    ~[;-)
    Paul-Marc

  4. Bonsoir Frank,
    Effectivement je partage totalement l’avis de Thomas. Je pratique en général un questionnaire que le coaché me transmets 24heures avant sa séance, cependant aujourd’hui j’obtiens de meilleurs résultats en ayant trouvé cette approche et liant ma profession de thérapeute. Le minimum pour moi c’est trois séances, afin que le coaché puisse prendre conscience et entreprendre les changements nécessaires tant à son parcours professionnel que privé et observé les changements.

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